
L’art de ne pas montrer la tour Eiffel : avant de dépeindre la Côte d’Azur dans un flamboyant Technicolor (cadré par le français Georges Périnal), le début de « Bonjour Tristesse » commence avec un impressionnant panoramique sur Paris, chargé de nuages lourds et menaçants, tourné en noir et blanc.
La tour Eiffel est à peine perceptible…
BONJOUR TRISTESSE (1958) Otto Preminger